Patrick Braoudé est acteur et cinéaste. On lui doit de nombreux films à la mise en scène, comme Génial mes parents divorcent (1990), Neuf Mois (1993), Amour et Confusions (1996), Deuxième Vie (1999), Iznogoud (2005).
Féru de photographie depuis son adolescence, il s’est décidé à exposer depuis 2013 à l’occasion du festival de Villerville.
Dotées d’un fort aspect pictural, sans retouche, ses photos donnent l’illusion de tableaux, sur un mode « impressionniste » tout en conservant l’instantané de la photographie. Des effets étonnants obtenus à la prise de vue, sans travail postérieur.
« De l’impressionnisme numérique ! » a dit de son travail Claude Lelouch lors de l’exposition de Deauville, avec une touche d’intemporalité !
Des photographies simples du bonheur au quotidien.
C’est à nouveau à l’intemporalité que nous convoque Patrick Braoudé avec une série de photos aussi exceptionnelles que rares avec pour titre « Sur le chemin d’Ouman… »
Il y a 4 ans, lors d’un voyage en Ukraine à l’occasion du tournage d’une série israélienne, Patrick Braoudé part sur le chemin de la ville d’Ouman.
Il passe alors une journée sur la tombe de Rabbi Nachman de Breslev, fondateur de la dynastie hassidique des Breslev, à l’occasion de la fête de Hanoucah, dans une atmosphère de recueillement mais également festive et amicale.
Le midi, dans un restaurant d’Ouman, le repas est composé de gefilte fish, hareng, kreplech, borcht, comme ce que le père de Patrick Braoudé – né en Ukraine, à Ekaterinosl
av, devenue Dniepropetrosk sous l’ère soviétique, puis Dnipro aujourd’hui – aimait tant manger !
Une journée au temps suspendu durant laquelle il capture des visages, des regards, des scènes furtives, tels des trésors
Pour le Festival des Cultures Juives, Patrick Braoudé livre les clichés de cette journée si particulière et de ce retour dans la patrie de ses ancêtres.
Quelques expositions de Patrick Braoudé
– Festival de Villerville – 2013
– « GONE BATHING », Galerie Gadcollection, Paris – 2014
– Galerie La Bohême, Deauville – 2015
– Festival Américain de Deauville – 2015
– « PARIS-DEAUVILLE », Alliance Française, Paris – 2016
– Agora Galerie, Honfleur – 2017
– Galerie 21, Toulouse – 2018
– Krisal Galerie, Carouge Genève – 2018
– Galerie Mermoz, Cabourg – 2019
– Art et Liberté, Charenton – 2020
– Galerie Victor Sfez, Paris – 2020
–Galerie Jal, les Portes en RÉ – 2022
–Galerie Artclub, Paris – 2023
Ce qu’en dit la presse
L’œil de la Photographie : (19 février 2014)
« Très particulières, ses images ont un fort aspect pictural. Flou, aux couleurs saturées et sans retouches numérique, le rendu est proche de l’impressionnisme ou du pointillisme. Photographies simples du bonheur au quotidien. »
Le Point : (14 mai 2015)
« Des photos qui s’apparentent à des toiles impressionnistes. »
Ouest France (31 mai 2014)
« Sous l’œil de Patrick Braoudé, le littoral devient délicat, presque surpris dans son intimité́. Chaque pixel est comme un pinceau impressionniste, un style combien de fois copié et qui, cette fois, a trouvé́ un nouveau maitre à l’heure de la révolution numérique »
Ouest France (24 septembre 2016)
« Patrick Braoudé et la Photographie, c’est un peu Monet, Monet, Monet… Alors que l’impressionnisme est utilisé à toutes les sauces et palettes, celui que l’on connaît comme le réalisateur de « Neuf Mois » et « Génial mes parents divorcent » est, à l’instar du maître de Giverny, un précurseur dans l’émergence d’un style. Les images qu’il saisit sur le vif prolongent et innovent ce qui demeure l’un des plus grands mouvements artistiques de l’Histoire, le faisant basculer dans le 8ème Art et le modernisme : « Patrick Braoudé a inventé l’Impressionnisme Numérique », n’hésite pas à déclarer le cinéaste Claude Lelouch.
FIP (Stéphanie Fromentin)
« Un travail qui procure une certaine sensation de bien-être ; des photos qui pourraient s’apparenter à la peinture des impressionnistes. »